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Discussion details

Created 16 September 2015

 

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Chacun d'entre vous, à savoir les 17 partenaires du projet, a beaucoup d'expérience dans le développement.

 

Avec vous nous aimerions écrire un article avec les plus importants bonnes pratiques de vos organisations.

Sur la base de votre expérience passée, s'il vous plaît décrire en quelques phrases dans la boîte de commentaire ci-dessous ce que vous pensez être la bonne pratique la plus importante afin de renforcer les moyens de subsistance de votre groupe cible.

Nous allons ensuite revenir vers vous afin de développer conjointement l'article plus en détail, mettant en évidence les bonnes pratiques de chacun d'entre vous. Une fois que l'article est terminé, il pourra être diffusé à un large public, au-delà même de groupe IESF, pour donner à votre organisation une plus grande visibilité.

Il existe de nombreuses définitions de ce qu'est une bonne pratique est, donc nous voulons garder les choses simples.

Pour l'instant il n'y a pas besoin d'être très détaillé, seulement quelques phrases sont suffisantes.

Alors, pensez à votre expérience passée et partagez-la avec nous !

Le tableau ci-dessous, qui est une adaptation d'un document de la FAO, suggère quelques critères pour votre choix d'une bonne pratique à partager pour l'article conjointe.

Vous pouvez proposer une bonne pratique si elle réunit au moins 2-3 des critères suivants :

 

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DE
deboeja

Nous avons constaté qu'une fourniture d'un panier de services complémentaires et intégrés (fourniture de services financiers, intrants agricoles, commercilisation des surplus de production, etc;) aux populations rurales vulnérables  permet d'améliorer plus rapidement leur situation économique et sociale. Ce constat est à la base de l'élaboration du projet OSIRIS pour proposer une offre de services plus complète et intégrée.

DE
deboeja

Le "panier de services complementaires" dont parle Djibril est effectivement essentiel, mais donne surtout aux projets tout le sens du mot "intégré". A savoir, un paquet de services qui tient compte des beneficiaires dans leur totalité (sociale, psychociale, economique, sanitaire, education...); donc tout l'interet d'une baseline qui soit inclusive pour analyser les besoins des beneficiaires, afin de proposer des services adéquats et identifier leurs pourvoyeurs également.

Par experience, sur le terrain, beaucoup d'ONG se donnent souvent la "prétention" de pouvoir fournir à elles seules ce panier de services complepemtaires, ce qui accroit parfois les couts de mise en oeuvre des projets, et reduit les chances de durabilité de l'action. De maniere stratégique et opérationnelle, il est important parfois de connecter 'le panier de services complémentaires" avec les initiatives de developpement national, local et commumautaire. Cela peut se faire par un système de collaboration avec les structures pourvoyeuses de ces services et biens, à travers un système de REFERENCE et CONTRE REFERENCE. Par, exemple, au cours d'un projet d'éducation mené en faveur des Orphelins du VIH/Sida (2010-2014), nous avons pu donner les services complémentaires de la vaccination par simple réference et collaboration avec l'initiative PEV (Programme Elargi de Vaccination) et faire vacciner les enfants. Bien d'autres soutiens en faveur des enfants et leurs familles ont été donné grâce á cette approche.

En réalité, en Côte d'Ivoire, tout comme dans beaucoup de pays africians, il existe des programmes et des initiatives definies par les gouvernements pour assister les populations. Dans le contexte ivoirien, il existe les Districts, les Conseils Génèraux, les Mairies, les Projets locaux, tous avec une mission d'offirir les services sociaux de base aux populations de leur localité, avec des budgets en conséquence. Souvent, les projets réalisés par les ONG, souffrent de leur faible connexion et encrage avec ces programmes gouvernementaux et autres initiatives , ce qui reduit parfois la complémentarité de leurs interventions pour faciliter "le panier de services complémentaires" dont parle Djibril.

Il reste important de favoriser une collaboration certes, institutionnelle, mais surtout opérationnelle entre intervenants sur le terrain, á savoir les ONG de développement, les initiatives gouvernementales, les agences de développement locaux, Districts, Mairies et autres opportunités pourvoyeuses de services. Cette apprcohe semble "cost effectiveness" et peut renforcer la durabilité des interventiosn.

DE
deboeja

Bonjour Bamba. Merci de cette contribution. Vous avez parfaitement raison. Il ne faudrait pas qu'un seul intervenant cherche à tout faire. C'est pourquoi, notre option a été de de construire des partenariats basés sur la plus-value de chacun pour founir un bouquet de services intégré. Dans ce partenariat nous avons:

- des coopératives agricoles qui fournissent les intrants agricoles, la commercilisation après les récoltes;

- Une Mutuelle d'épargne et de crédit qui offre les services financiers (épargne, crédit, trnasfert d'argent, conseil d'entreprise);

- une Compagnie nationale d'assurance agricole qui fournit l'assurance agricole et assure aussi les crédits de la mutuelle;

- une organisation locale 'le GRAIM) spéciliser dans l'assurance du risque maladie à travers les mutuelles de santé (si les producteurs sont malades ils ne produisent pas et ceux qui ont contracté une assurance maladies doivent avoir une activité économique sinon ils ne sont pas solvables d'où le rapprochement souhaitable entre mutuelles d'épargne et de crédit, mutuelles da santé et coopératives agricoles);

- Le GRET s'assure que tout le monde a une bonne compréhesion de la protection et de l'inclusion socile et que les services proposés sont intégrés et complémentaires;

- ADG s'oppe de la coordination génénale et accompagne tous les acteurs sur le terrain.

C'est on peut caricaturé mais si ça interesse certains, on peut approfondire.

Merci encore une fois ! 

DE
deboeja

Un commentaire supplémentaire

Il est vrai que l’appui sur un réseau pré-existant de coopératives fonctionnelles présente de multiples avantages, puisque que le projet va pouvoir ajouter une gamme de services nouveaux (assurances) à des services déjà existants (approvisionnement, commercialisation, conseils, et aussi micro-finance).

Alors que le système classique officiel de sécurité sociale présente toujours le risque d’être considéré comme un impôt dont on ne saisit pas immédiatement la contrepartie du fait de son caractère abstrait et théoriquement universel (mais en réalité limité le plus souvent au seul secteur formel : voir le thematic brief sur la protection sociale), la micro-assurance appliquée à la santé ou à la protection sociale consiste en une démarche assurantielle volontaire dont les avantages et les effets deviennent plus immédiatement concrets, pratiques et palpables à l’échelle locale.

Ce sera intéressant de voir les résultats de l’étude « baseline » de votre projet, car on pense a priori qu’en milieu rural où les revenus sont faibles, les besoins en assurances agricoles (sur la perte de récolte ou de cheptel par exemple) sont limités. De ce point de vue, c’est extrêmement important que le projet OSIRIS articule ces besoins et ces instruments avec ceux de la micro-finance plus classique (micro-crédit pour l’achat d’équipement ou de biens de consommation) (voir le thematic brief sur la micro-finance et la discussion).

Je profite d’ailleurs de l’occasion pour signaler que les thematic briefs sont des points de départ un peu abstrait, théorique et éventuellement polémiques qui sont destinés à être nourris, enrichis et développés avec des expériences pratiques telles que les vôtres. Cela permettrait d’aboutir à  des réflexions collectives intégrant les bonnes pratiques et les leçons apprises à partir des projets dont vous êtes les porteurs ou d’autres expériences similaires antérieures (qui ont par exemple servies  dans l’élaboration de vos projets).

Donc n’hésitez pas à partir de vos propres expériences à faire des thematic briefs des documents martyrs qui pourront devenir à la longue une vision partagée par les 17 projets que vous constituez tous ensemble.

DE
deboeja

Un commentaire pour OSIRIS.

Désolé pour la mauvaise manipulation du commentaire précédent

DE
deboeja

Bonjour Djibril,

J'ai ajouté un commentaire à la discussion, mais comme celle-ci s'est retrouvée noyée sous l'avalanche des 'posts' suivants, je ne suis pas sûr que vous l'ayez lu.

Merci.

Jacques

DE
deboeja

Bonjour Jacques,

oui, en effet, je ne le vois pas.  Si jamais vous le retrouvez ......

DE
deboeja

Djibril, le commentaire est au dessus (4ème niveau, juste après votre réponse à Bamba) en remontant le fil de cette conversation.