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Pendant près de 50 ans, l’État congolais a détenu le monopole du contrôle des sociétés forestières, ce qui a restreint l’implication des communautés locales et des populations autochtones dans les instances de prise de décision sur la gouvernance forestière. Depuis le début des négociations d’un Accord de Partenariat Volontaire entre l’Union européenne (UE) et la République du Congo sur l’application des règlementations forestières, la gouvernance et les échanges commerciaux (FLEGT, par son acronyme en anglais), la situation s’est progressivement améliorée. En effet, l’APV favorise l’implication des organisations de la société civile dans l’observation indépendante de la gouvernance et la gestion des ressources forestières.

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L’observation indépendante externe : un outil de la bonne gouvernance forestière

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